Les collaborations UGC se trouvent rarement “par hasard”. Derrière chaque mission signée, il y a souvent une plateforme, un brief plus ou moins clair, quelques échanges en DM et parfois plusieurs essais avant de décrocher un projet solide. Aujourd’hui, les marques ne se contentent plus de poster un appel à créateurs sur Instagram : elles passent par des outils spécialisés pour sourcer, briefer, centraliser les vidéos, gérer les droits et suivre les résultats. Avec plus de 92 % des acheteurs qui regardent du contenu généré par les utilisateurs avant d’acheter, ces espaces de mise en relation sont devenus un vrai terrain de jeu pour les créateurs… à condition de savoir où poser les pieds.
Comprendre le fonctionnement des plateformes UGC change complètement la manière dont tu approches tes collaborations. Ce ne sont pas des distributeurs automatiques de contrats, mais des écosystèmes avec leurs codes : certaines misent sur de grandes bases de créateurs, d’autres sur des briefs ultra cadrés, d’autres encore sur l’IA pour générer des vidéos sans tournage. Entre les solutions très “marque” comme Taggbox ou Trend, et les plateformes françaises comme YOO, Influence4You ou Vogz, il y a un large spectre d’options. Le but n’est pas de tout tester en même temps, mais d’identifier celles qui correspondent à ta façon de créer, à ton organisation et à ton niveau d’expérience.
En bref
- Les plateformes UGC sont devenues des points de passage clés pour les marques qui cherchent des vidéos authentiques, sans forcément travailler avec des influenceurs classiques.
- Top 5 à connaître pour trouver des collaborations : YOO, Influence4You, Youdji, Moggo et Vogz, avec chacune une logique différente de mise en relation.
- Les critères importants pour un créateur : clarté des briefs, gestion des droits, simplicité des échanges, types de contenus demandés, délais de paiement.
- Les plateformes “marque” comme Taggbox, Trend ou Billo structurent la demande en UGC et influencent indirectement les attentes envers les créateurs.
- Objectif : utiliser ces outils pour construire un flux régulier de missions, sans miser sur un “coup de chance” viral.
Top 5 des plateformes UGC pour trouver des collaborations avec des marques
Quand on parle de “Top 5 des plateformes UGC pour trouver des collaborations”, l’idée n’est pas de sacrer une plateforme miracle, mais de présenter cinq terrains où les créateurs décrochent concrètement des missions. Certaines sont très connues dans l’influence, d’autres se spécialisent dans l’UGC pur, avec des briefs orientés conversions, pages produits et publicités sociales. L’important, c’est de piger ce que chaque outil attend de toi, et ce que tu peux en tirer.
Imagine Nora, qui tourne ses vidéos verticales dans son salon, en lumière naturelle, smartphone en main. Elle cherche ses premières collabs UGC, sans audience massive. En passant un peu de temps à comprendre le fonctionnement de ces plateformes, elle va pouvoir :
- repérer les missions adaptées à son style (face cam, démonstrations, vidéos POV) ;
- filtrer les projets trop flous ou mal rémunérés ;
- organiser ses essais sans se perdre dans dix outils différents.
Les cinq plateformes suivantes reviennent souvent dans les parcours de créateurs qui structurent leurs premières collaborations :
- YOO – plateforme UGC française reliée à une large communauté de créateurs, pensée pour lancer rapidement des campagnes vidéo pour les réseaux sociaux ;
- Influence4You – historique dans l’influence, avec une couche IA pour aider les marques à rédiger des briefs et sourcer des profils pertinents ;
- Youdji – outil orienté UGC multilingue, pratique pour les créateurs qui parlent plusieurs langues ou qui veulent collaborer avec des marques à l’international ;
- Moggo – plateforme centrée sur la création et la gestion de missions UGC, avec une base de créateurs plus restreinte mais plus ciblée ;
- Vogz – espace où les “Vogzers” produisent du contenu pour les marques, de la rédaction du brief jusqu’à la mise en ligne des contenus.
Pour t’aider à y voir plus clair, voici un tableau qui met en regard ces plateformes avec quelques acteurs UGC plus globaux côté marques :
| Plateforme | Rôle principal | Idéal pour les créateurs | Type de collaborations |
|---|---|---|---|
| YOO | Mise en relation UGC & influence, campagnes sociales | Créateurs UGC vidéo courts, Reels, TikTok, UGC e-commerce | Vidéos UGC orientées social ads et contenus organiques |
| Influence4You | Plateforme et agence d’influence avec IA | Profils habitués aux collaborations, micro et mid influence | Campagnes mixtes UGC + influence, avis vidéo, stories |
| Youdji | Plateforme UGC internationale multilingue | Créateurs parlant plusieurs langues, contenus localisés | UGC produit, démonstrations, adaptations culturelles |
| Moggo | Création & gestion de missions UGC | Créateurs à la recherche de briefs cadrés et récurrents | Vidéos tests produits, tutoriels, photos lifestyle |
| Vogz | Plateforme UGC orientée accompagnement marque | Créateurs prêts à suivre un process guidé de A à Z | Vidéos courtes pour réseaux sociaux, contenus sponsorisés |
Plutôt que de t’inscrire partout en espérant “tomber” sur des missions, tu peux te poser une question simple : sur lesquelles de ces plateformes ton style de contenu et ton rythme de production ont-ils le plus de sens aujourd’hui ?

Critères concrets pour choisir tes plateformes UGC
Avant de cliquer sur “créer un compte” partout, un petit filtre perso t’évitera de perdre du temps. Une bonne plateforme UGC, pour un créateur, c’est un mélange de clarté, de sécurité et de réalisme sur les attentes. Quelques points à regarder en priorité :
- Lisibilité des briefs : formats demandés, durée des vidéos, angles créatifs attendus, livrables précis.
- Gestion des droits : durée d’utilisation, territoires, diffusion en publicité ou non, cession totale ou limitée.
- Organisation des échanges : messagerie intégrée, suivi des révisions, validation des scripts.
- Délais et modalités de paiement : acompte ou pas, règlement à la livraison, 30/60 jours, via plateforme ou facture.
- Niveau de contrôle créatif : place laissée à ton style vs besoin très formaté type publicité classique.
Un test simple à faire : prendre un ancien tournage, analyser comment tu l’as géré et te demander sur quel type de plateforme ce workflow serait le plus fluide pour toi. C’est une bonne base pour cibler intelligemment tes inscriptions.
Plateformes UGC côté marques : comprendre Taggbox, Trend, Billo & co pour mieux collaborer
Les collaborations ne naissent pas seulement sur les plateformes où tu t’inscris. Très souvent, les marques s’appuient aussi sur des outils UGC pensés pour elles : agrégation de contenus, murs sociaux, galeries achetables, génération de vidéos via IA. Ces plateformes ne sont pas forcément ton point d’entrée direct, mais elles influencent la façon dont tes vidéos seront utilisées… et donc la manière dont on va te briefer.
Par exemple, un site e-commerce qui utilise Taggbox pour afficher des photos clients en temps réel n’aura pas les mêmes besoins qu’une marque qui passe par Billo pour commander des spots façon TikTok, ou par Trend pour créer des galeries shoppables. Comprendre ce qui se passe “de l’autre côté”, chez les marques, permet de :
- anticiper les formats qu’on risque de te demander (vidéos produits, unboxing, témoignages, POV) ;
- comprendre pourquoi certains briefs insistent tant sur les droits et la réutilisation en publicités ;
- adapter ton portfolio pour montrer que tu sais nourrir ces écosystèmes.
Voici un aperçu de quelques plateformes UGC très utilisées côté marques et de ce que ça implique pour toi comme créateur :
| Plateforme | Fonction clé | Impact sur le brief créateur | Type de contenus attendus |
|---|---|---|---|
| Taggbox | Agrégation UGC, murs sociaux, gestion des droits | Importance des autorisations, diffusion multi-canaux (site, écrans, réseaux) | Photos lifestyle, vidéos courtes, contenus événementiels |
| Trend | Galeries UGC achetables, marketing d’influence | Vidéo qui montre clairement le produit, call-to-action visibles | UGC shoppable, démonstrations, mises en scène produit |
| Billo | Vidéos à la demande façon TikTok/Reels | Storytelling dynamique, format vertical, rythme rapide | Unboxing, reviews, tutos, face cam |
| Pixlee | Galeries achetables & preuves sociales visuelles | Esthétique soignée, cadrage propre, cohérence visuelle | Photos portées, lifestyle, courtes capsules vidéo |
| Flowbox | Curation UGC pour e-commerce, IA & droits | Mise en avant des produits, plans clairs, variantes visuelles | Photos et vidéos produits, contenus clients réutilisables |
Quand tu reçois un brief mentionnant ce type de plateforme, tu peux directement te poser les bonnes questions : le contenu sera-t-il affiché sur un site produit, sur un mur d’événement, dans une publicité payante ? La réponse change ton cadrage, ton énergie, et même la façon dont tu structures ton message.
Ce que ces plateformes UGC attendent réellement du contenu
Derrière les grandes promesses type “engagement”, “authenticité” ou “conversion”, les outils UGC cherchent surtout du contenu exploitable : clair, lisible, modérable, légalement réutilisable. Concrètement, ça veut dire quoi pour toi ?
- Lisibilité du produit : on doit comprendre en quelques secondes ce qui est testé, porté ou utilisé.
- Message simple : un bénéfice principal, une situation reconnaissable, peu de digressions.
- Cadrage propre : lumière correcte, son audible, pas d’éléments problématiques en arrière-plan.
- Droits clairs : pas de musique sous licence non gérée, pas de logos tiers non autorisés.
- Variations : plusieurs prises, plans ou textes pour que la marque puisse tester.
Tout l’enjeu, c’est de trouver un équilibre : livrer des contenus “propres” pour ces plateformes, sans basculer dans une pub lisse qui perd l’esprit UGC. Une bonne piste consiste à garder tes réflexes de créateur mobile (tournage rapide, spontanéité, petites imperfections assumées), tout en intégrant les contraintes de diffusion.
Structurer ton activité UGC sur ces plateformes sans te perdre
S’inscrire sur plusieurs plateformes, répondre à des briefs, tourner, monter, livrer… sans organisation, tout devient vite chaotique. Beaucoup de créateurs abandonnent non pas parce qu’ils manquent de talent, mais parce qu’ils se noient dans les outils. Une activité UGC stable passe par une structure simple, adaptée à ton quotidien et à ton énergie.
En observant les créateurs qui tiennent sur la durée, on retrouve souvent les mêmes habitudes :
- un temps dédié chaque semaine pour scanner les nouvelles missions ;
- un système pour suivre les candidatures, réponses, livrables, paiements ;
- des modèles réutilisables (scripts, plans de cadrage, templates de montage).
Voici un exemple d’organisation minimale pour naviguer entre plusieurs plateformes :
| Étape | Action | Outil simple | Bénéfice concret |
|---|---|---|---|
| Veille des missions | Consulter 2 ou 3 plateformes ciblées, 1 à 2 fois par semaine | Rappels calendrier ou bloc-notes | Évite de passer à côté d’un brief qui te correspond |
| Suivi des candidatures | Noter chaque mission envoyée avec date, plateforme, statut | Tableur simple (Google Sheets, notion) | Vision claire sur ce qui bouge et ce qui stagne |
| Production | Découper chaque mission en 3 blocs : script, tournage, montage | Checklist récurrente | Réduit l’impression de “gros bloc” ingérable |
| Archivage | Classer les meilleurs rushs et exports par marque et format | Dossiers structurés sur ton drive | Matériel prêt pour ton portfolio UGC |
| Facturation / paiement | Noter chaque montant, date de paiement prévue, date réelle | Onglet dédié dans ton tableur | Moins de stress sur le suivi des règlements |
Un petit exercice à tester dès cette semaine : choisir une seule plateforme parmi ton “Top 5” et te fixer l’objectif d’y répondre à 2 briefs maximum. En parallèle, mets en place un simple tableau de suivi. C’est souvent ce genre d’ajustement pratique qui fait la différence sur le long terme.
Construire un portfolio adapté aux plateformes UGC
La plupart de ces plateformes te proposeront un espace profil. Tu peux l’utiliser comme un mini-portfolio UGC, mais avec une logique différente d’un portfolio créatif classique. Ici, les marques cherchent surtout à se projeter : “Si cette personne tournait une vidéo pour notre produit, à quoi ça ressemblerait ?”.
- Montrer des formats proches de la réalité des briefs : témoignages face cam, démos produit, unboxing, tutos rapides.
- Varier les angles : script orienté bénéfice, storytelling d’usage, avant/après, POV.
- Rester honnête : ne pas masquer les petites imperfections, les cadrages très “smartphone”.
- Préciser tes forces : montage dynamique, ton pédagogique, humour discret, voix off, etc.
- Mettre à jour régulièrement : un profil figé donne l’impression d’une activité en pause.
Question à te poser pour la suite : si une marque ouvrait ton profil aujourd’hui, verrait-elle clairement le type de contenus que tu peux produire pour elle, ou devrait-elle deviner ?
Différencier UGC, influence et publicité classique sur ces plateformes
Une confusion revient souvent : “Si je tourne des vidéos pour des marques, je deviens influenceur ?”. Les plateformes mélangent parfois les termes, mais sur le terrain, les réalités sont distinctes. L’UGC repose sur la production de contenus, pas sur ton audience. L’influence se base sur ta capacité à toucher ta propre communauté. La publicité classique, elle, passe par des acteurs plus lourds (agences, studios, tournages plus complexes).
Les plateformes comme YOO ou Influence4You jouent souvent sur ces trois tableaux en même temps : campagnes d’influence, contenus UGC, spots plus proches de la pub. D’où l’importance de savoir où tu te situes. Un créateur débutant peut tout à fait :
- produire de l’UGC pour des marques sans poster le contenu sur ses propres réseaux ;
- ne pas se définir comme “influenceur” mais comme créateur vidéo ;
- rester en dehors des logiques de “storytelling de réussite” très mises en avant dans l’influence classique.
Pour clarifier, tu peux garder en tête ce type de repères :
| Type | Ce que la marque achète | Outil type | Ta valeur ajoutée principale |
|---|---|---|---|
| UGC | Des vidéos / photos réutilisables sur ses propres canaux | YOO, Moggo, Vogz, Billo, Trend | Qualité du contenu, clarté du message, authenticité |
| Influence | Ton audience, ta crédibilité auprès de ta communauté | Influence4You, Social Native, Cohley | Capacité à engager tes abonnés |
| Publicité classique | Un rendu très cadré, souvent multi-acteurs, plus scénarisé | Agences, studios, tournages dédiés | Jeu d’acteur, respect d’un storyboard précis |
Sur les plateformes UGC, rester lucide sur ce que tu proposes t’aide à te présenter simplement : créateur ou créatrice de contenu vidéo, à l’aise avec les formats courts, capable de raconter un usage de manière concrète. Ni plus, ni moins. À partir de là , chaque collaboration devient une expérimentation supplémentaire, pas un “examen” à réussir.
Exercice pratique pour clarifier ton positionnement
Avant de multiplier les inscriptions, tu peux prendre une heure pour faire le point sur ton profil créateur :
- Lister les 3 formats vidéo que tu maitrises le mieux aujourd’hui.
- Écrire en une phrase ce que tu aimes faire passer dans tes contenus (humour, pédagogie, esthétique, spontanéité…).
- Choisir 2 plateformes du Top 5 oĂą ce style a le plus de chance de trouver sa place.
- Préparer un mini dossier avec 3 vidéos déjà tournées qui illustrent ces forces.
Avec ces quelques éléments, tes profils sur les plateformes UGC deviennent beaucoup plus lisibles pour les marques… et pour toi aussi.
Mettre les plateformes UGC au service de ta progression créative
Les plateformes peuvent donner l’illusion que tout se joue dans l’algorithme ou dans le bon “match” marque/créateur. En pratique, la progression vient surtout de ce que tu fais entre deux missions : les tests persos, les brouillons de scripts, les vidéos non publiées, les essais de cadrage ratés. C’est là que se construit ta patte.
Tu peux utiliser ces outils comme des terrains d’entraînement cadrés :
- Tester des formats : accepter parfois des petits briefs simples pour expérimenter un nouveau style de plan ou de montage.
- Observer les tendances réelles : repérer les types de scripts qui reviennent, les angles choisis par les marques.
- Affiner ta manière de raconter : transformer un simple test produit en micro histoire visuelle.
Pour donner un cadre à cette progression, tu peux te fixer des micro-défis reliés à ces plateformes :
| Micro-défi | Objectif créatif | Durée | Comment l’utiliser sur une plateforme |
|---|---|---|---|
| Filmer un test produit de 30 secondes par jour | Travailler la concision et la clarté | 7 jours | Intégrer les meilleurs dans ton portfolio YOO ou Moggo |
| Écrire 5 variations d’un même script | Explorer différents angles (bénéfice, histoire, humour) | 2 jours | Proposer plusieurs options à une marque sur Vogz |
| Reproduire la structure d’une pub UGC vue en ligne | Comprendre les codes des campagnes performantes | 1 jour | Envoyer l’exemple à une marque comme échantillon |
| Tourner une vidéo en conditions “réelles” (lumière moyenne, bruit) | Apprendre à sauver une prise imparfaite | 1 soirée | Montrer aux marques que tu gères aussi les contraintes |
La question qui peut t’accompagner à la fin de chaque mission UGC est simple : “Qu’est-ce que cette collaboration m’a appris pour la prochaine ?”. Pas côté business, mais côté tournage, écriture, montage, gestion du temps. C’est en gardant ce réflexe que les plateformes deviennent un levier d’apprentissage, pas juste un endroit où tu rafraîchis une page en attendant des mails.
| À retenir : |
|---|
| Idée reçue : « Il faut être influenceur pour faire de l’UGC. » |
| Réalité : les marques recherchent avant tout des créateurs capables de produire de bons contenus vidéo adaptés à leurs outils UGC. |
| Clé : travailler la clarté du message, la qualité du rendu et la compréhension des plateformes utilisées par les marques. |
| Action : filmer un test produit de 30 secondes aujourd’hui et l’utiliser comme base pour mettre à jour ton profil sur une des plateformes du Top 5. |
Faut-il être présent sur toutes les plateformes UGC pour trouver des collaborations ?
Non. Mieux vaut sélectionner 2 ou 3 plateformes cohérentes avec ton style de contenu et ton niveau d’expérience. L’important est de rester actif, de répondre à des briefs ciblés et de tenir ton profil à jour, plutôt que de se disperser partout sans réel suivi.
Quelle est la différence entre une collaboration UGC et une campagne d’influence classique ?
Dans une collaboration UGC, la marque achète principalement ton contenu (vidéos, photos) pour l’exploiter sur ses propres canaux, avec ou sans diffusion publicitaire. En influence, elle achète surtout ton audience et ta capacité à parler à ta communauté. Tu peux être créateur UGC sans avoir une grosse base d’abonnés.
Comment savoir si une plateforme UGC est fiable pour un créateur ?
Tu peux vérifier la transparence des conditions (droits, paiements), la clarté des briefs, la présence d’un support client et l’existence de retours d’expérience de créateurs. Les plateformes sérieuses expliquent clairement comment sont gérés les droits d’utilisation, les délais de règlement et le type de collaborations proposées.
Que mettre en avant dans un portfolio UGC pour intéresser les marques ?
Des exemples de vidéos proches des briefs réels : reviews face cam, démonstrations produit, unboxing, mini tutoriels. Mieux vaut quelques contenus simples, concrets et récents qu’un montage trop “pub télé”. Les marques veulent se projeter sur ce que tu peux produire rapidement dans un cadre UGC, pas sur un showreel spectaculaire.
Combien de temps consacrer par semaine aux plateformes UGC quand on débute ?
Un créateur débutant peut viser 2 à 3 heures par semaine pour la veille des missions et la mise à jour des profils, en plus du temps de tournage. L’essentiel est d’installer une routine légère mais régulière, plutôt que de passer une journée entière à s’inscrire partout puis ne plus rien faire pendant un mois.

